Le faire soi-même, ou Do It Yourself en anglais (l'acronyme DIY signifiant aussi bricolage dans la langue de Shakespeare), est tout autant né d'une volonté de gagner du pouvoir d'achat que du plaisir de faire soi-même, simplement avec de l'huile de coude et du jus de cerveau.

Des centaines de tutoriels consacrés au « fais-le plutôt toi-même » ont fleuri sur les plateformes vidéos et réseaux sociaux ces dix dernières années. Il faut dire qu'il y a en face un public assidu : près de 65% de Français avouent pratiquer cette discipline.

Vous avez reçu le lit de bébé mais il manque la notice de montage dans le colis ? Pas de souci, Youtube est là. Et puisque Internet ne ferme jamais ses portes, ça marchera aussi pour le remplacement, les pieds dans l'eau, du siphon de votre évier un dimanche matin...

Qui dit travaux dit aussi matériel dédié. Pour ce faire, petites échoppes et grandes enseignes sauront répondre à vos besoins et vos questions. De la même manière qu'un OPEL Combo Life saura généreusement et aisément embarquer vos nouveaux amis marteaux, tournevis et autre pots de peinture, grâce à ses 28 espaces de rangements, et à l'ouverture astucieuse de ses portes latérales coulissantes.

Vouloir mettre la main à la pâte, réaliser des économies et même prendre du plaisir durant des travaux de bricolage, n'empêche pas d'être prudent. Certaines tâches ne s'improvisent pas et vouloir les faire soi-même représente un vrai risque, et une perte de temps considérable.

La grande distribution a rapidement vu tout l'intérêt qu'elle avait à surfer sur cette vague du Do It Yourself, en proposant en la matière des ateliers d'apprentissage ou de perfectionnement de groupe. Rentrer chez soi, son oeuvre sous le bras, en clamant à son conjoint et ses enfants: "C'est moi qui l'ai fait", ça n'a pas de prix !